L’histoire du train dans le Val d’Argent, c’est un peu comme une romance. Une histoire, qui a commencé il y a 150 ans lorsque les industriels avaient besoin d’un moyen de locomotion rapide et efficace. La belle technologie ferroviaire était là. C’était donc un mariage de raison. L’union a été célébrée en décembre 1864. Le couple a passé les différents cap : noces d’or, de diamant, de platine et de granite. Jusqu’aux canoniques noces d’eau, les 100 ans de vie commune. Sauf qu’au fil du temps, les industriels ont déserté, et le chemin de fer est passé à une autre histoire, celle de la grande vitesse et du TGV. 150 ans plus tard, le contrat de mariage est encore là. Mais pour ce qui est des sentiments, il ne reste guère plus que de la nostalgie. Retour sur l’histoire ferroviaire de la vallée.

Lecture par Régine Maurer.

Des idées déco pour son intérieur en utilisant la technique du up-cycling. Présenté par Nicole Baradel.

Lecture de L’Enfant de la lune, de Pierre Coran et Judith Gueyfier (éd. Didier Jeunesse) par Régine Maurer.

Du long de ses 6 872 mètres, c’est le tunnel routier le plus long intégralement situé sur le territoire français.
Pour beaucoup, le tunnel Maurice-Lemaire, c’est un péage pour rouler une dizaine de minutes et éviter de passer par le col. Mais ce que l’on sait moins, c’est que derrière ces murs, une vingtaine de personnes travaillent discrètement sans qu’on ne les voit. Leur mission : assurer, en coulisses, la sécurité et l’entretien de l’ouvrage et ce, 24 heures sur 24. Voyage de l’autre côté du tunnel avec les opérateurs de l’ombre.

Du long de ses 6 872 mètres, c’est le tunnel routier le plus long intégralement situé sur le territoire français.
Pour beaucoup, le tunnel Maurice-Lemaire, c’est un péage pour rouler une dizaine de minutes et éviter de passer par le col. Mais ce que l’on sait moins, c’est que derrière ces murs, une vingtaine de personnes travaillent discrètement sans qu’on ne les voit. Leur mission : assurer, en coulisses, la sécurité et l’entretien de l’ouvrage et ce, 24 heures sur 24. Voyage de l’autre côté du tunnel avec les opérateurs de l’ombre.

Les frères Ruch.

Pour beaucoup, la voiture, c’est synonyme de bouchons, de longs trajets, ou encore de pollution. Et puis, il y a les passionnés. Ceux pour qui une bougie n’est pas qu’un moyen de s’éclairer quand on n’a pas d’électricité.

En matière d’automobile, c’est comme dans la littérature : il y a deux écoles, les anciens et les modernes. D’un côté, ceux qui préfèrent retaper un tacot qui dépassera à peine les 50 km/h. Et de l’autre, ceux qui préfèrent les bolides avec leurs carrosseries aux courbes léchées. Portrait croisé de deux passionnés d’automobile.